Je vous l'ai promis hier, je raconte aujourd'hui comment j'ai appris pourquoi je suis claustrophobe. Déjà, je tiens à le dire, je le suis mais à un stade limité: je me mets juste à pleurer comme une petite fille quand je me retrouve dans un endroit confiné. En Egypte, au mois de mai dernier, c'était assez pathétique, partagée que j'étais entre la peur et mon envie d'entrer dans les merveilleuses tombes grecques d'Alexandrie. C'était une raison suffisante pour me réfugier aussi dans des bras protecteurs, ce qui était un excellent prétexte. La claustrophobie n'a pas que ses désavantages:).
En fait, c'est complètement par hasard que j'ai découvert les origines de cette peur. J'étais allée consulter un voyant (j'y vais une fois par an parce que je suis très, très curieuse de nature. Vous l'aviez peut-être remarqué...). C'était la première fois que j'allais chez lui. Il engagea la conversation ainsi : "Vous savez, l'Eglise, à certaines époques, ne tolérait absolument pas qu'un peintre se mette à peindre des scènes de nus, voire osées". J'étais assez destabilisée, me demandant s'il allait bien. Et puis, il s'est expliqué: "Vous savez, dès que je vous ai vue, j'ai pensé au Moyen Âge. Vous y avez été peintre. Vous avez peint des choses scandaleuses pour l'époque". Cette révélation me semblait amusante. Je ne pus m'empêcher de rire surtout en pensant au milieu très coïncé dans lequel j'évolue actuellement. Le voyant poursuivit: "Un proche très jaloux de votre talent vous a trahi. On vous a enfermé dans un cachot puis pendu après un procès bâclé". Tout à coup, je ne riais plus. J'étais abasourdie pour plein de raisons: déjà parce que le Moyen Âge est une de mes passions, ensuite parce que, de nouveau le thème de la trahison revenait sur le tapis. Visiblement, je n'ai pas eu beaucoup de chance avec mes amis au cours de mes différentes réincarnations.
Par ailleurs, ce qu'il me disait rejoignait des propos tenus par mon ami medium, S. Alors qu'il se concentrait pour trouver quelles avaient été mes vies, il avait à moment donné ressenti une sensation d'étouffement. Il se sentait mal. Je lui demandais: "S. qu'est ce que tu as? Tu te sens mal? Tu veux qu'on arrête?". "J'étouffe, on me pend". Il ressentait ce que j'avais pu ressentir alors. Il continua: "on est en train de me prendre, de te prendre. Tout ça, c'est une injustice complète!". Dans quel état j'étais! Une fois revenu à lui, S. me dit: "tu sais, cette réincarnation a eu une incidence particulière sur ta vie. Tu en portes les traces physiques".
J'eus comme une illumination: "j'ai depuis toujours mal derrière le cou. Je dois systématiquement porter un foulard ou une écharpe sinon j'ai des maux de têtes insupportables". Le sentiment d'injustice que j'ai ressenti au moment où je suis mort semble indélébile.
Entre le cachot, origine probable de ma claustrophobie et la corde au cou qui me donne encore aujourd'hui des maux terribles de cervicales, je ressens un besoin impérieux d'approfondir cette vie là, celle où j'ai été peut-être peintre. Je n'ai aucune piste pour le moment. Mais je ne désespère pas.
samedi 28 juin 2008
vendredi 27 juin 2008
Hypnothérapie: oui mais
Si vous avez l'occasion de lire l'excellent ouvrage du docteur Brian L. Weiss intitulé Nos vies antérieures (Editions J'ai lu), vous apprendrez peut-être (à moins que vous ne le sachiez déjà :)) que nos réincarnations ont des conséquences non négligeables sur chacun d'entre nous. Médecin psychiatre, l'auteur est loin d'être un illuminé. Habitué à plonger ses patientes dans l'état d'hypnose afin de connaître l'origine de leurs traumatismes, l'une d'entre elle, par hasard, remonta beaucoup plus loin, jusqu'à une autre vie. Par la parole et la connaissance de ce qui c'était passé, elle guérit aussitôt. On pourrait ainsi soigner par cette méthode de nombreux troubles psychologiques. Certaines phobies qui ne s'expliquent pas par le vécu du patient, pourrait l'être par une vie antérieure.
Bien que je demeure persuadée que le docteur Brian L. Weiss a raison, je tiens quand même à dire: attention aux dérives. Certainement que des traumatismes vécus dans d'autres vies peuvent avoir des incidences mais, à mon humble avis, ils n'expliquent pas tout. Pourquoi tenir de tels discours, moi qui défend l'idée de réincarnation? Parce qu'une jeune fille (c'est ce que j'ai cru comprendre, à moins qu'elle ne soit plus âgée, mais ça m'étonnerait...) vient de m'envoyer un e-mail pour me faire part de son mal être. A lire son message, j'avais l'impression de me revoir il y a dix ans... Je tiens à le dire, ce qui m'a permis de me sortir de mes douleurs psychologiques, ce n'est pas la régression ou mes recherches mais bel et bien un bon psy. La quête n'a pu commencer qu'après, quand je me suis sentie enfin moi-même. Elle est arrivée comme un cadeau. D'ailleurs, je l'ai dit, les souvenirs lointains ne reviennent que lorsqu'on se trouve parfaitement détendu et en phase avec ce que l'on est et aspire à être.
Cette précision apportée, ce serait cependant totalement hypocrite de ma part de ne pas mettre l'accent sur certaines découvertes que j'ai faites en lien direct avec mes réincarnations comme par exemple les causes de ma claustrophobie. Mais je vous dirai ça plus tard car le travail m'appelle...
La suite au prochain épisode les amis. Et merci à tous pour vos e-mails et vos sympathiques commentaires qui donnent chauds au coeur. Ce petit ange rien que pour vous.
Bien que je demeure persuadée que le docteur Brian L. Weiss a raison, je tiens quand même à dire: attention aux dérives. Certainement que des traumatismes vécus dans d'autres vies peuvent avoir des incidences mais, à mon humble avis, ils n'expliquent pas tout. Pourquoi tenir de tels discours, moi qui défend l'idée de réincarnation? Parce qu'une jeune fille (c'est ce que j'ai cru comprendre, à moins qu'elle ne soit plus âgée, mais ça m'étonnerait...) vient de m'envoyer un e-mail pour me faire part de son mal être. A lire son message, j'avais l'impression de me revoir il y a dix ans... Je tiens à le dire, ce qui m'a permis de me sortir de mes douleurs psychologiques, ce n'est pas la régression ou mes recherches mais bel et bien un bon psy. La quête n'a pu commencer qu'après, quand je me suis sentie enfin moi-même. Elle est arrivée comme un cadeau. D'ailleurs, je l'ai dit, les souvenirs lointains ne reviennent que lorsqu'on se trouve parfaitement détendu et en phase avec ce que l'on est et aspire à être.
Cette précision apportée, ce serait cependant totalement hypocrite de ma part de ne pas mettre l'accent sur certaines découvertes que j'ai faites en lien direct avec mes réincarnations comme par exemple les causes de ma claustrophobie. Mais je vous dirai ça plus tard car le travail m'appelle...
La suite au prochain épisode les amis. Et merci à tous pour vos e-mails et vos sympathiques commentaires qui donnent chauds au coeur. Ce petit ange rien que pour vous.
jeudi 26 juin 2008
Connaître ses réincarnations: la régression sous hypnose
Suite au commentaire laissé sur ce blog par Rose, j'ai l'idée de communiquer aujourd'hui les méthodes à suivre pour avoir accès à ses vies antérieures. Attention, ces techniques que j'ai expérimentées sont quand même difficiles à mettre en oeuvre et doivent certainement donner plus ou moins du fruit en fonction de chacun. Ce qui est valable pour moi ne l'est peut-être pas forcément pour les autres. Et puis, je reste convaincue qu'il y a des moments dans la vie plus propices que d'autres. Il y a des choses que l'on doit savoir et d'autres qui doivent rester dans l'ombre. Dans ce domaine, il ne faut rien forcer et attendre le moment opportun.
Donc, première méthode: l'hypnose. J'ai souvent évoqué T., une professionnelle qui m'a aidée à accéder à mes vies mais je préfère vous parler d'une autre personne, M., avec qui j'ai fait une véritable régression. Attention, si cette technique vous tente, il faut absolument faire appel à un ou une professionnel(le): ne confier pas votre inconscient à n'importe qui!
Il faut savoir cependant, que, sous hypnose, vous ne risquez absolument rien. Vous êtes totalement conscient et pouvez vous sortir vous-même de cet état sans l'aide de qui que ce soit. Rien à voir donc avec les films où un hypnotiseur mal intentionné pousse son patient à voler voire même pire, à tuer! Tout ça relève de l'affabulation pure. Vous pouvez donc vous adresser à un spécialiste en toute sécurité.
Cette régression se passa à Lyon, chez mon ami medium. M., "l'hypnotiseur" étant un de ses amis, je lui faisais entièrement confiance malgré une certaine appréhension... La peur de savoir... Nous nous sommes isolés dans une chambre. M. m'a incitée à m'allonger. Seule une bougie éclairait la pièce. Il me demanda de fixer la flamme puis, une fois les yeux fermés, de garder cette image en tête le plus longtemps possible. Avec sa voix très agréable, il m'aida à relâcher l'intégralité des muscles de mon corps. Afin que mon esprit ne soit pas pollué par les souvenirs de cette vie présente, il me fit régresser en me poussant à me remémorer des moments simples en remontant le temps: mon premier jour à l'université, celui où j'ai eu mon bac, l'anniversaire de mes 16 ans, le jour où mon grand-père est mort lorsque j'avais 10 ans, mes premiers pas à l'école à 5 ans et ainsi de suite jusqu'à mon tout premier souvenir. Vous allez rire, mais je me faisais alors talquer les fesses par ma maman...
Une fois le fil de ma vie présente remonté, il y eut un vide. Le corps sous hypnose est extrêmement détendu mais l'esprit se trouve en total éveil. Quand M. me dit: "maintenant, tu es dans le ventre de ta mère", j'ai commencé à avoir l'impression d'être comme au cinéma, assise dans le noir. Je voyais des images qui se projetaient. J'avais l'impression que ce n'était pas mon cerveau qui les produisait mais bel et bien comme un projecteur extérieur. C'est ce qui m'a donné l'impression très forte que ces images correspondent à une réalité, à quelque chose de vrai et non à des trucs vus à la télé, à quelques réminiscences de films ou de livres.
Je me suis retrouvée dans le ventre de ma mère, un foetus tout recroquevillé. Puis, le noir total. Avant que n'apparaissent les premières images. Elles viennent à vous comme un film, toutes mélangées. Ce sont d'abord des flashs sans queue ni tête, des visages, des situations. Puis, ces images se font plus précises. Elles racontent alors une histoire.
Donc, première méthode: l'hypnose. J'ai souvent évoqué T., une professionnelle qui m'a aidée à accéder à mes vies mais je préfère vous parler d'une autre personne, M., avec qui j'ai fait une véritable régression. Attention, si cette technique vous tente, il faut absolument faire appel à un ou une professionnel(le): ne confier pas votre inconscient à n'importe qui!
Il faut savoir cependant, que, sous hypnose, vous ne risquez absolument rien. Vous êtes totalement conscient et pouvez vous sortir vous-même de cet état sans l'aide de qui que ce soit. Rien à voir donc avec les films où un hypnotiseur mal intentionné pousse son patient à voler voire même pire, à tuer! Tout ça relève de l'affabulation pure. Vous pouvez donc vous adresser à un spécialiste en toute sécurité.
Cette régression se passa à Lyon, chez mon ami medium. M., "l'hypnotiseur" étant un de ses amis, je lui faisais entièrement confiance malgré une certaine appréhension... La peur de savoir... Nous nous sommes isolés dans une chambre. M. m'a incitée à m'allonger. Seule une bougie éclairait la pièce. Il me demanda de fixer la flamme puis, une fois les yeux fermés, de garder cette image en tête le plus longtemps possible. Avec sa voix très agréable, il m'aida à relâcher l'intégralité des muscles de mon corps. Afin que mon esprit ne soit pas pollué par les souvenirs de cette vie présente, il me fit régresser en me poussant à me remémorer des moments simples en remontant le temps: mon premier jour à l'université, celui où j'ai eu mon bac, l'anniversaire de mes 16 ans, le jour où mon grand-père est mort lorsque j'avais 10 ans, mes premiers pas à l'école à 5 ans et ainsi de suite jusqu'à mon tout premier souvenir. Vous allez rire, mais je me faisais alors talquer les fesses par ma maman...
Une fois le fil de ma vie présente remonté, il y eut un vide. Le corps sous hypnose est extrêmement détendu mais l'esprit se trouve en total éveil. Quand M. me dit: "maintenant, tu es dans le ventre de ta mère", j'ai commencé à avoir l'impression d'être comme au cinéma, assise dans le noir. Je voyais des images qui se projetaient. J'avais l'impression que ce n'était pas mon cerveau qui les produisait mais bel et bien comme un projecteur extérieur. C'est ce qui m'a donné l'impression très forte que ces images correspondent à une réalité, à quelque chose de vrai et non à des trucs vus à la télé, à quelques réminiscences de films ou de livres.
Je me suis retrouvée dans le ventre de ma mère, un foetus tout recroquevillé. Puis, le noir total. Avant que n'apparaissent les premières images. Elles viennent à vous comme un film, toutes mélangées. Ce sont d'abord des flashs sans queue ni tête, des visages, des situations. Puis, ces images se font plus précises. Elles racontent alors une histoire.
mardi 24 juin 2008
Réincarnation récente (suite)
Quel ne fut donc pas le choc quand je découvrais que ce fameux M. A., que je suis censée avoir été, a non seulement été journaliste pour les plus grands magazines américains du début du XXe siècle mais encore, un des scénaristes et des auteurs de théâtre les plus connus de son époque. Ses films furent interprétés par des acteurs et actrices incroyables que je n'ose même pas citer ici.
Bien sûr, gardons la tête froide. Ce goût immodéré pour la mode du début du XXe siècle et pour la ville de New-York ne peut être considéré comme un indice en soi. Tout comme mon besoin d'écrire ne peut pas être une réminiscence de ce passé si proche... M. A. mourut en 1954, année de naissance de ma mère. Certainement une coïncidence...
Au cours d'une séance d'hypnose avec T., je vis la baie de New-York toute illuminée. Est-ce parce qu'à la télévision ce genre de vue est extrêmement courant? Mon cerveau a peut-être tout simplement mémorisé une image qu'il a transmise à ce moment précis. Oui mais, j'ai vu aussi une maison toute en hauteur, avec un escalier devant, comme il en existe aux Etats-Unis. Il neigeait et trois enfants jouaient avec une luge à descendre la pente juste en face. Souvenirs authentiques ou simples extraits de films vus il y a des lustres? Difficile à dire: il est vrai que l'on se serait cru dans "Citizen Kane" ou dans "La vie est belle" de Franck Capra. Autre impression, beaucoup plus nette en revanche et qui ne se rapporte, semble-t-il, à rien de particulier: toujours sous hypnose, je vois un grand bateau, genre yacht, tout éclairé dans la nuit. Un orchestre joue. Les hommes, en smoking boivent du Champagne. Des dames en robes longues sont à leurs bras. Nous sommes dans les années 30 (toujours la baie de New-York?). Quelque chose cloche: la prohibition interdisait toute consommation d'alcool. Je voudrais en savoir plus mais les images s'évaporent. Allongée sur le canapé de T., je reviens à moi trop vite à mon goût. Ces sensations très fortes restent gravées au plus profond de mon être, comme si elles faisaient partie de moi mais elles m'échappent en même temps, chaque fois que j'essaie de les retenir.
Bien sûr, gardons la tête froide. Ce goût immodéré pour la mode du début du XXe siècle et pour la ville de New-York ne peut être considéré comme un indice en soi. Tout comme mon besoin d'écrire ne peut pas être une réminiscence de ce passé si proche... M. A. mourut en 1954, année de naissance de ma mère. Certainement une coïncidence...
Au cours d'une séance d'hypnose avec T., je vis la baie de New-York toute illuminée. Est-ce parce qu'à la télévision ce genre de vue est extrêmement courant? Mon cerveau a peut-être tout simplement mémorisé une image qu'il a transmise à ce moment précis. Oui mais, j'ai vu aussi une maison toute en hauteur, avec un escalier devant, comme il en existe aux Etats-Unis. Il neigeait et trois enfants jouaient avec une luge à descendre la pente juste en face. Souvenirs authentiques ou simples extraits de films vus il y a des lustres? Difficile à dire: il est vrai que l'on se serait cru dans "Citizen Kane" ou dans "La vie est belle" de Franck Capra. Autre impression, beaucoup plus nette en revanche et qui ne se rapporte, semble-t-il, à rien de particulier: toujours sous hypnose, je vois un grand bateau, genre yacht, tout éclairé dans la nuit. Un orchestre joue. Les hommes, en smoking boivent du Champagne. Des dames en robes longues sont à leurs bras. Nous sommes dans les années 30 (toujours la baie de New-York?). Quelque chose cloche: la prohibition interdisait toute consommation d'alcool. Je voudrais en savoir plus mais les images s'évaporent. Allongée sur le canapé de T., je reviens à moi trop vite à mon goût. Ces sensations très fortes restent gravées au plus profond de mon être, comme si elles faisaient partie de moi mais elles m'échappent en même temps, chaque fois que j'essaie de les retenir.
samedi 14 juin 2008
Réincarnation récente
J'ai beaucoup hésité avant de parler de la vie antérieure qui est apparue le plus nettement à mon ami medium. Pourquoi? Parce que j'ai moi-même énormément de mal à y croire et parce que les quelques indices que j'ai pu trouver à ce sujet depuis, me troublent énormément. Peut-être que c'est vrai. Peut-être que c'est faux. A vous aussi de vous faire une opinion.
Toujours en se concentrant sur mon prénom, dans l'obscurité, S. me voyait en homme avec une petite moustache, une casquette sur la tête genre "Sherlock Holmes". Voilà ce qu'il me dit: "tu aimes boire du whisky et sucer les gouttes qui restent accrochées à ta moustache. Tu as des enfants avec lesquels tu joues beaucoup. Devant ta maison, il y a un arbre dans lequel tu aimes grimper pour les faire rire. L'été, tu y accroches un petit miroir pour te raser. Tu as beaucoup de fantaisie. Tu es journaliste. Je te vois, ton calepin à la main, en train d'interviewer des gens pour écrire tes articles. Ca se passe aux Etats-Unis". J'étais très intriguée et émue par tant de détails... Il poursuivit: "Je te vois dans une soirée avec des dames vêtues de longues robes et portant de grands chapeaux. On vous présente une toute nouvelle machine à écrire". J'osais lui demander si un nom lui venait. Très nettement, il en a effectivement sorti un, qui ne me disait rien, et que je noterai des simples initiales M. A.
Tout cela m'intriguant énormément, une fois chez moi, j'ai tapé sur Google ce nom. Je ne m'attendais pas à trouver quoi que ce soit. Et en fait, ce fameux M. A. est un écrivain américain, mort dans les années 1950. Très connu dans son pays, il ne l'est pas du tout en France. Je laisse donc les initiales par discrétion.
En menant mon enquête sur Internet, j'ai même trouvé une photo de lui quand il était jeune et là, franchement, j'ai eu un choc: c'est le portrait craché de mon grand-père paternel. Mon trouble était tel que j'ai montré la photo à mon père et à ma mère (sans leur dire évidemment les raisons de tout ça...) et ils eurent tous les deux la même réaction: "C'est marrant, on dirait ton grand-père. Il te ressemble ce type, c'est qui?".
La suite au prochain épisode...
Toujours en se concentrant sur mon prénom, dans l'obscurité, S. me voyait en homme avec une petite moustache, une casquette sur la tête genre "Sherlock Holmes". Voilà ce qu'il me dit: "tu aimes boire du whisky et sucer les gouttes qui restent accrochées à ta moustache. Tu as des enfants avec lesquels tu joues beaucoup. Devant ta maison, il y a un arbre dans lequel tu aimes grimper pour les faire rire. L'été, tu y accroches un petit miroir pour te raser. Tu as beaucoup de fantaisie. Tu es journaliste. Je te vois, ton calepin à la main, en train d'interviewer des gens pour écrire tes articles. Ca se passe aux Etats-Unis". J'étais très intriguée et émue par tant de détails... Il poursuivit: "Je te vois dans une soirée avec des dames vêtues de longues robes et portant de grands chapeaux. On vous présente une toute nouvelle machine à écrire". J'osais lui demander si un nom lui venait. Très nettement, il en a effectivement sorti un, qui ne me disait rien, et que je noterai des simples initiales M. A.
Tout cela m'intriguant énormément, une fois chez moi, j'ai tapé sur Google ce nom. Je ne m'attendais pas à trouver quoi que ce soit. Et en fait, ce fameux M. A. est un écrivain américain, mort dans les années 1950. Très connu dans son pays, il ne l'est pas du tout en France. Je laisse donc les initiales par discrétion.
En menant mon enquête sur Internet, j'ai même trouvé une photo de lui quand il était jeune et là, franchement, j'ai eu un choc: c'est le portrait craché de mon grand-père paternel. Mon trouble était tel que j'ai montré la photo à mon père et à ma mère (sans leur dire évidemment les raisons de tout ça...) et ils eurent tous les deux la même réaction: "C'est marrant, on dirait ton grand-père. Il te ressemble ce type, c'est qui?".
La suite au prochain épisode...
mercredi 11 juin 2008
Réincarnation et Egypte: tout n'est pas si simple
Alors que je reviens de mon deuxième voyage en Egypte, je suis assez déçue. Je n'y allais pas que pour ça bien sûr, mais je comptais bien avancer un peu dans mon enquête: pourtant rien. De plus, je me retrouve embarquée dans une histoire d'amour avec un Egyptien... Ca en revanche, je ne crois pas que ce soit totalement anodin...
Pas d'images depuis des mois. Très prise par mon travail, je suis aussi moins détendue et dispose pour véritablement laisser venir mes émotions. C'est une leçon pour tous ceux qui cherchent, plus ou moins sans l'aide de qui que ce soit, à retenir des souvenirs: il faut être totalement détendu...
Pas d'images depuis des mois. Très prise par mon travail, je suis aussi moins détendue et dispose pour véritablement laisser venir mes émotions. C'est une leçon pour tous ceux qui cherchent, plus ou moins sans l'aide de qui que ce soit, à retenir des souvenirs: il faut être totalement détendu...
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